75 / 1 – LA PESTE À SAINT-BRIEUC.

Grâce aux registres de délibération de la communauté de ville de St Brieuc, Michel LE CHAPELIER, pour le tout début du XVIIe siècles, met en évidence trois aspects de la lutte contre la maladie :
– Organisation de la vie face à l’épidémie.
– Lutte médicale contre le fléau .
– Réaction psychologique de la population.

75 / 2 – IMAGES DE LA PETITE ENFANCE D’AUTREFOIS.

Grâce à trois dessins d’Olivier PERRIN, Jean LE TALLEC évoque trois moments de la vie du nourrisson, façon de faire valable il y a peu de temps encore :
– L’enfant et son habillement.
– L’enfant au berceau.
– L’enfant et la bouillie. 

75 / 3 – 1831-1833 : UNE ÉPHÉMÈRE ÉCOLE NORMALE D’INSTITUTEURS EN C-D-N.

Pour la formation des maîtres voici quelques dates :
17 mars 1808 : décret impérial instituant une classe normale par département
1881-1886 : écoles normales d’instituteurs par département / Jules FERRY
Entre ces deux dates, comme le rappelle Cécile LE JEAN : querelle entre les tenants des classes normales départementales et ceux qui voulaient des écoles normales régionales, c’est dans ce contexte que St Brieuc voit naître et mourir son institution entre 1831 et 1833.

75 / 4 – PEINES ET ENFERMEMENTS.

De la fin du Moyen-Âge au 19° siècle, Joseph LOHOU nous fait revivre l’évolution des peines infligées aux grands délinquants. La peine de mort a disparu et l’efficacité de la prison est mise en doute, que faire avec ceux qui ne suivent pas le « droit chemin » ? 

75 / 5 – UNE EXÉCUTION PUBLIQUE À SAINT-BRIEUC, IL Y A 85 ANS.

Henriette HERLANT et Annick MEVELLEC nous rappellent ce 10 octobre 1922 où, à St Brieuc, Anatole DEIBLER (exécuteur de 395 peines capitales) guillotine Eugène HUQUET (assassin, par noyades successives, de ses 4 enfants).