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Résumés des articles du bulletin de liaison n°72
 

72 / 1 – LES FOUAGES.

Fouage ou Impôt foncier à l’ancienne !

Maurice ORÉAL a tout résumé. Si on ajoute que les villes étaient exemptes de fouage, que les nobles en étaient dispensés au titre de « l’impôt du sang » et que le clergé n’y était pas soumis on imagine la charge qui pesait sur les épaules des roturiers exploitant leurs propres terres.

72 / 2 – LES TRENTE-CINQ ARTICLES DE L’USEMENT DE ROHAN.

Paulette BOURDONNE, grâce à un article paru dans la revue « Mein Ha Tud » nous présente les 35 articles de l’usement de ROHAN, rassemblant les lois particulières et locales qui singularisaient, à l’origine, les terres du vicomte de ROHAN par rapport aux lois de la Coutume de Bretagne.

72 / 3 – DES BOURSES D’ÉTUDE AUX XVII°, XVIII° ET XIX° SIÈCLES.

Surprenante cette rente établie le 19 avril 1644.

Jean-Patrice RENARD aurait-il, à travers ses recherches personnelles, découvert les plus anciennes bourses attribuées en Bretagne aux « . . . pauvres Escoliers . . . » .

72 / 4 – LES ACTES SOUS L’ANCIEN RÉGIME – III - LA NOMINATION D’UN TUTEUR .

Pascal LORANT poursuit notre initiation (voir CG 22 n°71) aux actes de l’Ancien Régime. Aujourd’hui c’est la nomination d’un tuteur qui retient notre attention.

Beaucoup avait été fait pour protéger le mineur, l’édit de Louis XV du 9 décembre 1732 en est la preuve.

72 / 5 – ASCENDANCE DE FRANÇOIS-MARIE LUZEL (1821-1895).

Grâce à Jean-Miliau GARION nous découvrons un résumé de la biographie que Françoise MORVAN consacre à François-Marie LUZEL. 

Il est remarquable qu’un homme successivement enseignement, rédacteur en chef d’un journal puis directeur des archives du Finistère soit connu pour sa collecte de contes et de chansons en langue bretonne. Est-ce la revanche du poète ?

72 / 6 – LES CHIRURGIENS.

Jusqu’au XVIII° siècle chirurgiens et docteurs vécurent dos à dos, ces derniers tenant les chirurgiens dans une situation inférieure. On ne leur connaît pas, aujourd’hui, de statuts antérieurs au XIII° siècle.

Dominique LOHOU, à travers cet article, nous fait parfaitement revivre cette rivalité.

72 / 7 – JOHNNY.

Armelle GOUÉROU nous pousse à la nostalgie : encore un petit métier qui disparaît !

Les vendeurs d’oignons de Roscoff partant « outre-Manche » proposer leurs produits étaient 1400 en 1929, aujourd’hui ils ne sont plus qu’une poignée.

Heureusement qu’un musée , à Roscoff, rappelle une aventure de près de deux siècles.

Bernard RAYMOND