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Résumés des articles du bulletin de liaison n°17
 

17 / 1 – UN LIEU DE PERDITION DANS LES C D N, AU MILIEU DU XVII ème SIÈCLE = PLÉNÉE – JUGON.

Les registres des BMS de Plénée-Jugon indiquent, au milieu du XVII ème, un nombre élevé d’enfants illégitimes. Est-ce parce que le seigneur du lieu, le marquis de La MOUSSAYE, est protestant ? Ce serait un peu facile comme explication.

L’évêque de St Brieuc s’en mêle et fustige les coupables (4 septembre 1659).En avril 1665 il fait, par vicaire interposé, saisir la juridiction de la Moussaye pour faire expulser les filles de mauvaise vie venues d’ailleurs . . .Suivons Jean-Luc TULOT sur le chemin du repentir.

17 / 2 – L’AMIRAUTÉ DE SAINT BRIEUC.

Les ports de la Bretagne, même les plus humbles, commerçaient avec tous les pays de la façade atlantique, les marchandises entraient (vins, fruits secs, épices, fer . . .) et sortaient (grains, toiles, poissons salés et séchés . . .) et là où il y a commerce les receveurs ducaux sont aux aguets !

RICHELIEU tente de faire main basse sur tout cela mais le Parlement de Bretagne s’y oppose.

En 1691, il y a sept sièges d’amirauté en Bretagne : St Malo, St Brieuc, Morlaix, Brest, Quimper, Vannes et Nantes. Pour St Brieuc le territoire s’étend de l’Arguenon au Trieux.

Laissons André GUÉGO nous détailler les attributions de ces amirautés.

17 / 3 – LES MÉTIERS D’AUTREFOIS = LES CIRIERS [SUITE].

Les bulletins 07 et 08 nous faisaient entrer dans le monde des Oribusiers.

Aujourd’hui, Jeannine N. BLONCE nous amène à la rencontre des faiseurs de cierges, bougies et autres produits dérivés.

Olivier de SERRES, à la fin du XV ème siècle dit qu’elles n’étaient en usage que chez les Princes et les Grands Seigneurs. Le cierge a aussi une valeur symbolique et est omniprésent dans les cérémonies religieuses.

17 / 4 – JEAN–MARIE RIVOALLAN [1748–1812].

Les hommes de loi de l’ancien régime ont été le plus puissant levier de la Révolution, souvent plus riches mais jaloux de la noblesse. Ceux établis au chef-lieu des sénéchaussées devinrent administrateurs des départements, juges, députés . . . Tel Jean-Marie RIVOALLAN, né à Pleubian le 26-11-1748, il a une carrière exemplaire en cette période troublée de notre histoire.

C’est Michel QUINTIN, l’un de ses descendants, qui nous en parle savamment.

Bernard RAYMOND