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Résumés des articles du bulletin de liaison n°10
 

10 / 1 – LES INVENTAIRES APRÈS DÉCÈS.

Annick MEVELLEC nous fait découvrir les trésors d’informations que contiennent les inventaires après décès. Inventaires dressés, bien sûr après décès pour permettre une estimation, au mieux, de la valeur vénale de l’ensemble mobilier. Présents dès le XVI ème siècle, ils se multiplient au XVIII ème.

Après avoir pris connaissance de leurs limites et de leurs lacunes nous entrons dans l’intimité de nos ancêtres, c’est passionnant.

10 / 2 – LE SANG BLEU DE NOS ANCÊTRES. 

C’est un rapide regard sur la noblesse de l’évêché de St Brieuc du XV ème au XVIII ème siècles.

Jean-Yves LECLERC s’attaque à un sujet très dense, car au cours des siècles la situation des familles évolue et, à une époque donnée la disparité entre les plus riches et les plus pauvres est énorme.

Des noms célèbres, mais surtout une noblesse pléthorique et très pauvre (1300 familles dans le diocèse) 

Vous avez, vous aussi, peut-être du sang bleu dans les veines ! (moi j’en ai . . . enfin, quelques gouttes).

10 / 3 –  UNE FAMILLE PROTESTANTE DU PAYS DE MONCONTOUR = LES GOUIGET.

Jean-Luc TULOT nous fait revivre, à travers une généalogie très documentée, enrichie d’anecdotes et de précisions sorties de la vie même de cette famille, les convulsions religieuses liées à l’édit de Nantes et à sa révocation. Combien de fois n’y a t’il pas eu abjurations, reniements et volte face pendant cette période où l’essentiel était de survivre.

Que d’exils !

10 / 4 – LES MÉTIERS D’AUTREFOIS [SUITE].

La liste s’enrichie toujours, aujourd’hui nous ajoutons :Mairandiers / Chapeletiers / Baracaniers / Sasiers / Garaniers et bien d’autres dont il vous faudra chercher l’explication en vous reportant au bulletin 10.À noter un développement important sur les cacous (le dernier lépreux à disparu de Bretagne en 1536).

10 / 5 – DE GENTILICIORUM NOMINUM ORIGINE.

Du nom de baptême au patronyme en passant par le surnom.

Jusqu’au XIII ème siècle les gens du peuple n’avaient qu’un prénom (nom de baptême) auquel on accolait, par commodité, un surnom pour éviter les confusions possibles. Le surnom est devenu patronyme en 1539, enfin le surnom du moment.

Suit une explication sur les catégories de surnoms classés par thèmes.

L’officialisation du surnom n’a pas empêché l’apparition d’un sobriquet accolé à ce tout nouveau nom de famille.

Bernard RAYMOND