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Le
monument aux morts.
A
présent, nous allons nous diriger, dans la rue du Lavoir, à l’angle
de cette rue, face à l’église se dresse la stèle commémorative des
Sévignacais morts durant la guerre de 1914-1918 ainsi que celles qui
ont suivi.
Cette stèle fait place à une croix de bois, que l’on peut
observer sur les clichés antérieurs à cette période
voir chapitres :
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Continuons
maintenant notre périple à travers cette rue du Lavoir : Au
restaurant « Le Paradis » officiait jadis le couturier François
Berhault, tandis que la maison qui fait l’angle, face au monument aux
morts était à Jean Richard originaire de Rouillac..
Au n°
6 de la rue du Lavoir, Jean Lechevestrier avait un débit de boisson,
que lui acheta Jean Richard. Associé à Jeanne-Marie Labbé, Jean
Richard, par ailleurs voiturier à la Beschardière créa une épicerie
mercerie. Fannie Richard, fille de ce dernier hérita du lieu, elle épousa
Amand Douard, son fils est toujours dans les lieux, le restaurant le
Paradis et l’épicerie qui lui faisait face ont hélas fermés leur
porte voici peu.
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En
1966, un pignon menaçait de tomber dans cette maison inhabitée depuis
une vingtaine d’années : le Paradis
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Le
n° 10 de la rue du Lavoir était occupé par la ferme Lemarchand.
S’y
succédèrent un âtelier de cordonnier puis un buraliste. La maison
voisine, ancienne boucherie
charcuterie Guitton était habitée par Héloïse Hamonic.
Née le 29
janvier 1884 de l’union de Pierre & Julie Brillault, Héloïse
Hamonic épousa successivement Jean-Baptiste Leboucher, puis François
Soulas.
Ayant adopté Madelaine, la fille de ce dernier, elle lui
transmit cette maison à sa mort survenue le 24 octobre 1947.
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Jean Richard
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