Les Champs Daires

                                                                                                                         

                                                                                                      


-latin : campum

(Plaine et terrain cultivé)

 

 

 

 

Familles présentes aux Champs Daires :

-Henry      XXème siècle

-Guillet     XXème siècle***

-Réhel      XXème siècle 

-Bertheu   XXème siècle & maintenant

-Poinsu     XXème siècle & maintenant

-Devrand  XXème siècle & maintenant

-Benoît     XXème siècle

-Bouvier   maintenant

 

***Elie Guillet, négociant en bestiaux, fut avec Pierre Auffray, père et Eugène Guitton, également négociants en bestiaux parmi les premiers à posséder une voiture à Sévignac.

 

Les Champs d’Air

LE PONT DE LA  MALADRIE

La famille Poinsu :

« Messire Charles François-René d’Andigné et Dame Anne-Jeanne-Louise-Helenne Feré son épouse, Seigneur et Dame de la Ville-es-Blanc, tiennent noblement un pré sittué  près la maison noble du Bignon, contenant cinq  journaux, appelé le pré Gueroüif, joignant d’orient au ruisseau qui conduit du pont de la Maladrie à la Ville-Marie, du midy au chemin qui conduit de celuy cy après à la mare au Pasoüer, d’occident au chemin qui conduit de la Maladrie au Bignon, et du nord au pré du Bignon de Julien Huquet, sur lequel pré est deub dix sols monnois… »

Livre de comptes de 1756

 

Guillaume Poinsu était né en 1776  de l’union de  Alain & Guillemette Morin,  originaire de Mégrit il était journalier  à Sévignac quand il épousa Françoise Desréac de Kergueneuf. Le couple vécut un temps au Bignon puis à Launay Guérin, et c’est dans ce dernier hameau que leur fils Jean  vit le jour  le 24 vendémiaire an XIII. Jean devint  laboureur au bourg, quand  il épousa Jeanne Labbé de Dolo,  ce premier février 1836 à Sévignac.

Mathurin  Poinsu, fils de précédents naquit au bourg de Sévignac en 1841, il épousa Françoise Desvaux  de Plénée le 27 janvier 1869 et fut s’établir au village du Chauchix  où ils devinrent laboureur et ménagère ; c’est au Chauchix que leur fils  Pierre Poinsu vit le jour en 1873. D’abord marié à Céleste Guitton de Kerbras, Pierre épousa ensuite  Marguerite Gesret de Nancollet.  Leur  petit-fils Elie vit aujourd’hui aux Champs-D’Aires.

 

 

 

LA COURSE HYPPIQUE DE LA MALADRIE

 

On s'en doute, rares étaient les animations au cours des années qui ont précédés la seconde guerre mondiale, pourtant il en est une dont nos octogénaires se souviennent certainement, la course hippique des Champs d'air dans la pâture de la Maladrie, tout de suite à droite en quittant le bourg lorsque l'on emprunte la direction Kerbras

 

 

 

                                        

 

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