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-latin :
porta
(Endroit
fortifié)
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Familles
présentes à la Vieille Porte :
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-Collas
1690-1700
-Goure
1690-1780
-Bouvet
1695-1700
-Desréac
1700-1710
-Chevalier
1720-1750
-Réhel
1730-1740
-Bougault
1740
-Girard
1740-1760
-Thébault
1740-1760
-Fenan
1750-1760
-Lemée
1750-1770
-Berhault
1760-1875
-Douais
1770-1780
-Huquet
1780-1790
-Martel
1790-1800
-Guéguen
1820-1830
-Rochefort
1820-1840 (Métairie Vieille Porte)
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-Bréban
1825-1830
-Davy
1830-1840
-Lecollinet
1840-1850
-Martin
1840-1850
-Gilard
1850-1870
-Guyot
1850-XXème siècle
-Rouvrais
1880-1890
-Lenoir
1890-XXème
s.
-André
1890-1900
-Lecorgne
XX ème s.
-Rebours
XXème siècle
-Gesret
XXème s.
-Gaubichet
XXème siècle & aujourd’hui
-Geffros
XXème s.
-Gouvary
XXème siècle & aujourd’hui
-Gesnis
XXème siècle
-Gicquel
XXème siècle
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La
famille Gouvary
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| Né
le 28 mars 1812 à la Basse-Cour de Limoëllan, Julien Gauvary,
fils de François et de Julienne Bras (voir
aussi Kergueneuf)
épousa Françoise Lécuyer de la Guénochais.
L’un de leurs enfants : Julien naquit à la
Basse-cour en 1812, il se maria successivement à Catherine
Lecollinet puis à Marie
Briand du Coethieu et à Jeanne Guyot de Rouillac.
Ses descendants vivent à la Vieille Porte.
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La
Vieille Porte
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La
famille Guyot :
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| C’est
à Bréhan-Moncontour que Noël Guyot vit le jour en 1792,
de l’union de Joseph & Olive Tirel. Marié à
Marie Beaussan, il mourut le 4 janvier 1866, il était
laboureur. L’un de leurs fils prénommé également Noël se
maria le 9 novembre 1858 à Sévignac avec Jeanne-Marie
Berhault. Louis un de leurs enfants naquit à la Vieille Porte
en 1862, il épousa en juillet 1897 Eugénie Lerin, née au
bourg de Ange & Victoire Lehérissé.
Leurs descendants sont aujourd’hui présents au Menu
Bois à Trémeur, et également à Couedan à Sévignac. Outre
Noël Guyot, Joseph et Olive Tirel eurent également quatre
autres enfants dont Guillaume marié à Jeanne Lemarchand.
Joseph, leur fils naquit au bourg en 1836, après son mariage
avec Marguerite Gesret de la Croix-Oréal, il s’établit à
Pseul. Cette branche s’est depuis fondue dans la famille
Henry-Després.
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Mariage
de Elie Guyot de La Vieille Porte &
Madelaine
Gesret de Pengly
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Françoise
Bernard.
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Jacqueline
Gouvary alias Françoise Bernard à droite sa fille Anne Bacus
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Histoire
peu banale que celle de Jacqueline Gouvary, rare diplomée à
Sciences Po à cette époque, cette dernière est affectée à
l’Elysée où son chemin croise celui du général de Gaulle.
Après s’être entretenu avec la jeune femme, le général
lui suggère d’aller aux Etats-Unis afin de parfaire ses
connaissances dans la grande distribution. De retour en
France, elle a l’occasion de faire la connaissance de celui
qu’elle épousera, un grand nom de la Résistance : Gérard
Bacus. Travaillant aux établissements Neslé, au
temps de l’O.R.T.F., cette charmante jeune femme répondant
au pseudonyme de Françoise Bernard présentait aux téléspectateurs
des recettes de culinaires, elle avait d’ailleurs signé
quelques ouvrages de cuisine. En réalité, Françoise
Bernard, alias Jacqueline Gouvary connaissait la Vieille Porte
et pour cause, son grand-père y vivait. Née au Havre dans en
1924, elle nous a quitté
en 1996. L’une de ses filles : Anne Baccus
Lindroth est psychologue
et psychothérapeute depuis 20 ans. Elle travaille, en cabinet
privé, auprès d'adultes, mais aussi d'enfants par une
approche cognitive de la personne pour soigner les peurs, les
angoisses, les phobies. Anne Bacus est aussi psychologue en crèche,
de même qu'elle forme des travailleurs sociaux et des
assistantes maternelles. Enfin, elle donne des cours de
psychologie à l'université de Nanterre.
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Anecdote :
Lors
du débarquement en Normandie, une colonne allemande venant du Sud,
empruntait pour plus de sécurité la route de Kerbras afin de
rejoindre les lignes du littoral normand, elle fut attaquée par les résistants,
il y eut deux morts parmi les occupants. C’est le menuisier Auffray
de la Vieille Porte (lui-même résistant) qui fut invité à réaliser
leurs cercueils.
L’affaire
s’étant ébruitée, un jeune homme du bourg prit le chemin de la
Vieille Porte afin d’avoir plus de renseignements.
Là
bas, deux Allemands l’arrêtèrent, et l’embarquèrent avec eux.
Finalement, à hauteur du Pont Besnard, ils lui demandèrent une
cigarette et après lui avoir administré un coup de pied au derrière,
l’invitèrent à décamper, ce qu’il fit sans se faire prier.
Jamais coup de pied au derrière ne lui avait fait autant de bien de
toute sa vie !
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Demeure
à la Vieille Porte
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Puits
à la Vieille Porte
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Charpentiers
de père en fils :
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Nous
l’avons vu à l’article de la Villime, la famille Auffray
était originaire de Plénée, et s’était d’abord
établie à la Crestelle puis
ensuite dans le secteur du Bilieu. L’un des membres
de cette famille
: Julien Auffray vit le jour en l’an X à la « Maison
des Salles », au
sein du foyer de François & François Moquet, tous les
deux laboureurs. Marié
en 1836 à Jeanne Moisan de Dolo, François Auffray devint
charpentier au Bilieu. Son fils François né en mars 1839 épousa
Jeanne Lehérissé et fut lui aussi charpentier, cette fois à
la Touche-Anizan. Il faut dire que Jeanne Lehérissé était
elle-même née à la Villaussan où son père Mathurin Lehérissé
était charpentier, tout comme son grand-père Louis Lehérissé
de Pengly.
Eugène
Auffray petit-fils de François & Jeanne Lehérissé fut
lui-même charpentier à la Vieille-Porte, dans l’anecdote
relatée ci-dessus, c’est de lui dont il est question,
enfin, l’aventure des charpentiers s’acheva avec Eugène
son fils qui exerça à la Chesnaye, jusqu’au milieu des années
1980. Les descendants de cette dynastie de charpentiers sont
présents au Lotissements du Clos-Taron au bourg, à la
Chesnaye, au Lotissement des Camélias, ainsi qu’au Bojosse
et Broons.
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Détail
d’une ouverture
Dans
une remise à la Vieille Porte, linteau à accolade
La
date de 1726 a été remaniée en 1946
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REFLEXION
SUR UN PROBLEME DE SOCIETE
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Dans
le cadre d’une réflexion sur les quotas et les difficultés
des jeunes agriculteurs, les élus s’invitent à la
Vieille-Porte chez Véronique et
Guy Thomasset en octobre 1986. Parmi eux on remarquait
MM. Lemarié & Régnault, sénateurs, MM. Josselin &
Gaubert député et conseiller régional, députés ; MM.
Després & Nogues, conseillers
généraux.La situation était celle-ci : après
avoir déposé un dossier d’installation en décembre 1985
qui prévoyait 200.000l et 35 vaches laitières, Véronique
Thomasset se retrouvait dans une situation délicate, depuis
un an elle attend un quota, un
droit de produire. Son père malade ne peut pas par
conséquent lâcher
l’exploitation et son mari a quitté son emploi de
plombier-chauffagiste pour l’aider. Hors, cinq personnes
doivent vivre avec 90.000 l de lait que donnent les 19 vaches
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Les
noces d’or de Anne Marie et
Eugène Gaultier. 1963
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La
Vieille Porte, d’après une vue aérienne
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