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Résumés des articles du bulletin de liaison n°29
 

29 / 1 - LA VOIX DE NOS CLOCHES.

Extrait des " Mémoires de l'année 1973 " de la Société d'Émulation des Côtes du Nord, travail réalisé par F. GOARIN.

Le Langage des cloches a été, pendant des siècles, le seul moyen rapide de communication et d'information entre les habitants de la paroisse.

  • Les trois moments de la vie / baptême, mariage, sépulture (le glas).

  • Les périls et les incendies (le tocsin).

  • Le rythme de la journée / L'angélus, trois fois par jour

  • La vie religieuse / les appels aux offices / messes, vêpres

29 / 2 - LES CIVILITÉS.

La civilité est l'ensemble des conventions qui régissent les rapports des hommes entre eux

C'est une convention tacite que l'on ne peut enfreindre sans passer pour grossier et mal élevé.

Il y aurait beaucoup à dire sur le sujet !

Jeannine N. BLONCE nous guide sur le chemin difficile du respect des autres.

On relira les Bulletins 1, 2, 3 et 4 qui présentent de larges extraits de l'ouvrage de J.B. de LA SALLE, imprimé à Troyes en 1711 sous le titre " Les règles de la bienséance et de la civilité chrétienne " (il y a près de trois siècles et toujours d'actualité)

29 / 3 - UN LÉGUME DÉDAIGNÉ : LA POMME DE TERRE.

Extrait d'un chapitre rédigé par M Guy de SELLIER DUPIN, dans un ouvrage collectif ayant pour titre " Le Penthièvre et le Méné dans la Révolution ".

L'introduction de la pomme de terre en Bretagne est une longue histoire faite de méfiance, de suspicion et de crainte. En tout cas l'ami PARMENTIER n'y est pour rien puisqu'il n'avait que quatre ans lorsqu'un agriculteur de Messac (Ille et Vilaine) M BLANCHET ramena d'Outre Atlantique une dizaine de ces plants . . .

Si vous voulez savoir la suite il n'y a qu'à se reporter à l'article.

29 / 4 - LA VIE EN MILIEU RURAL - LA GUERRE DES COMMUNAUX.

Contrairement au droit français, en Bretagne, le seigneur était reconnu propriétaire des terres vaines. Une grande partie du territoire était constitué de landes, où, de temps immémoriaux, les paysans y récupéraient du bois mort, y faisaient paître leurs bêtes et en retiraient de la litière.

Au XVIII ème siècle, ces terres furent l'objet d'une volonté de récupération de la part des seigneurs.

Jeannine N. BLONCE met en lumière les heurts qui en découlèrent.

29 / 5 - LES LANGUES DES FRANÇAIS.

Philippe LEROY, auteur d'une enquête publiée dans la revue " Vivre au présent " nous donne quelques axes de réflexion sur ce sujet.

Le but de Jules FERRY était d'apprendre le français à tous.

Sous l'Ancien Régime, une quarantaine de langues ou dialectes se partageaient le territoire national. Le français à triomphé de ses rivaux. L'obstination maladive que tous les rouages de l'administration mettent à refuser une place aux autres langues de l'hexagone est une preuve de la persistance de cette volonté.

À son tour le français ne va-t-il pas être submergé par l'anglais ?

Bernard RAYMOND