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Résumés des articles du bulletin de liaison n°2
 

02 / 1 – UN ÉCUREUIL QUI VOULAIT AVOIR DE LA BRANCHE.

Ses armes comportaient un écureuil : il s’agit de Nicolas FOUQUET, surintendant des finances de Louis XIV qui termina sa carrière à la prison de Pignerol.

Nous entrons dans cette famille sur les pas du grand-père de Nicolas qui prit pour devise « quo non ascendet » (jusqu’où montera-t-il ?). L’écureuil était nommé « fouquet » dans le langage populaire.

Sujet développé par Marc LELEUX et enrichi par la rédaction.

02 / 2 – LES MÉTIERS D’AUTREFOIS.

Jeannine N. BLONCE ouvre aujourd’hui une rubrique qui ne peut que s’enrichir au fil du temps.

C’est la définition des métiers d’autrefois que nous rencontrons dans nos recherches généalogiques.

Il faut consulter cet article si vous voulez savoir ce que cache la profession de Coquetier, Baloteur ou Avaleur de nefs, entre autres.

Si vous m’en croyez, commencez dès aujourd’hui à ouvrir une liste sur votre ordinateur, que vous enrichirez au fur et à mesure.

02 / 3 –  POURQUOI N’Y AVAIT-IL PAS DE DÉPUTÉS DE LA NOBLESSE À LA CONSTITUANTE.

Marc LELEUX, dans son article du bulletin n° 01, posait la question en constatant cette anomalie.

Gaston DEPAGNE, Fernand LE GOUX et René PLESSIX nous apportent la solution.

Si vous aussi vous voulez connaître la réponse lisez la dans le Bulletin 02.

02 / 4 – RABELAIS ET LA GÉNÉALOGIE.

À lire dans le style savoureux de l’époque.

Ces lignes sont extraites, par l’infatigable Marc LELEUX, de « Gargentua – Chapitre 1 ».Humour et incitation à la modestie sont présents. Et faisons comme nous le conseille François RABELAIS :

« . . . beuvez frais, si faire se peut ».

02 / 5– LES RÈGLES DE LA BIENSÉANCE ET DE LA CIVILITÉ CHRÉTIENNE. (suite).

Je vous l’avoue, j’avais peur qu’il n’y ait pas de suite !

Nous apprenons qu’ « il n’est pas moins incivil de mettre la langue ou la lèvre d’en bas sur la lèvre d’en haut, pour en tirer de l’eau qui seroit tombée du nez, et de la rapporter ensuite dans la bouche ».Nous pénétrons, ensuite, dans les règles du bien cracher où l’essentiel est de pouvoir, après avoir craché, écraser le crachat avec le pied, ce qui interdit de cracher « sur ses habits ni sur ceux des autres ». À suivre.

02 /6– LA LÉGENDE DE LA COIFFE.

C’est l’histoire de deux trégorrois, un peu pris de boisson, dont le plus jeune cru voir danser de jeunes beautés dans le cimetière du bourg de Pommerit, qui en ramena une coiffe dérobée à l’une d’elles et qui en mourut.

Bernard RAYMOND