Le Quinier

                                                                                                                         

                                                                                                      


 

 

  (en gallo L’tquinieu)

-breton : cnech

(Hauteur)

 

 

Anecdote :

L’électricité au Quinieu

A l’angle de la route qui conduit au Quinieu, une petite bâtisse recouverte de tuiles pourrait passer inaperçue, et pourtant, à l’aube des années quarante, son propriétaire Elie Crestel, à l’instigation de monsieur Rabaté de la Rabine à Yvignac, aménagea l’étang situé au dessus, et fit placer un moulin qui alimenta en électricité le Quinier. 

Ce sont des électriciens broonais messieurs Clérivet et Andrieux –associé à Jean Olly qui firent les travaux nécessaires à l’alimentation de l’endroit. 

On y venait de Mégrit et Trémeur moudre du grain.

 

Le « moulin  »  du Quinier

 

La roue d’alimentation et le moulin

 

 

 

 

 

 

Familles  présentes au Quinier :

-Donniot      1720-1730  (Quihenieu)

-Ruault 1730-1740 (Quinieu)

-Lebrun        1740-1770 (Quingnieu-Quingneu)

-Deréac        1760-1770 (Quinieu)

-Brunet       1800

-Gesfros       1800

-Crestel       1840 à nos jours

-Leclerc      1880-1890

 

Eugène du Quinier

 

 

Au Quinier

 

 

 

La famille Crétel

 

-Charles Crétel de « Plenest » épousa Renée Réhel le 15 janvier 1722.

Ils s’établirent à Badalin, mais leur petit-fils Jean marié à Julienne Perrin était laboureur à Pengave quand il mourut  le 3 frimaire an XII.  
Sous la génération suivante, la famille était au « Quinieu » où on retrouve ses descendants  de nos jours ainsi qu’à Pengly et jadis aux Granges.

 

 

 

 

Anecdote :

Quand François Crestel, époux de Victoire Cilard du Quinier mourut au début du XXème siècle, huit hommes transportèrent sa dépouille jusqu’au bourg de Sévignac. Ils empruntèrent le chemin conduisant du Coudrays à la Croix Charles Allain, arrivés  à Pengly, ils  poursuivirent par un chemin qui les conduisit jusqu’aux Grassus –à l’entrée du hameau de Pengly. Après une halte à la chapelle de St-Cado, le cortège poursuivit sa route jusqu’au bourg.

 

En dessous de Pengly tandis que nous nous dirigeons vers le Coudrays,  voici la croix dite du bon Dieu, elle fut dressée par François Desriac en 1903
 

 

 

 

                                     

 

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