57 / 1 – NOS ANCÊTRES AUTOUR DE LA TABLE.

Depuis dix ans déjà, Jean LE TALLEC reconstruit, pour nous, l’environnement dans lequel nos ancêtres ont évolué. Le bulletin 55 était l’occasion de nous les présenter devant la cheminée, aujourd’hui les voilà autour de la table.Nous passons en revue les différents types de tables ayant existé autrefois (Autrefois, voir, je me souviens d’une « table courante » encore présente chez un voisin, quel calvaire c’était, pour s’asseoir, pas moyen de loger ses jambes).Si le « couteau crochu  » vous interpelle reportez-vous au bulletin 50.

57 / 2 – PIER AN DALL, SONNEUR DE CLARINETTE.

 Jean-Pierre BOUGLE nous fait faire la connaissance de PIER AN DALL (Pierre SERANDOUR du Haut Corlay) seul clarinettiste, qui , au milieu du XIX° siècle pouvait vivre de son instrument. Il est vrai qu’il devint aveugle à l’âge de trois ans et que c’est sûrement cette infirmité qui le rendit si expert dans cette musique. 

57 / 3 – L’ENFANCE ABANDONNÉE.

Un enfant abandonné c’est une tragédie, mais, plus égoïstement, pour le généalogiste c’est un mur infranchissable. Cécile LE JEAN nous explique que tout espoir n’est pas interdit. Il y a des pistes explorables.Aujourd’hui une grande réflexion se fait sur l’anonymat entourant cet acte et il est possible que, dans un avenir proche, des assouplissements viennent faciliter nos recherches.

57 / 4 – LE TRAVAIL DES ENFANTS AU XIX ° SIÈCLE. UN ENJEU ÉCONOMIQUE.

De tout temps, les enfants ont été, très jeunes, dans les familles les plus pauvres, astreints au travail, c’était une condition de survie.Le XIX° siècle voit l’apparition de la mécanisation et c’est la cadence de fonctionnement de la machine qui asservit « Homme – Femme – Enfant ».Jeannine N. BLONCE nous fait revivre ce XIX° siècle, où, de son début à sa fin, on vit passer l’âge minimum de travail des enfants de six (mais oui !) à treize ans.Nous espérons une suite à cet article . . .   

57 / 5 – RÔLE DES FOUAGES DE TRÉDREZ EN 1727 – 1732.

 C’est une photo que nous donne Yves OLLIVIER, instantané qui ravira les chercheurs de Trédrez, c’est un moment de vie comme nous aimerions en avoir beaucoup, c’est une autre possibilité que les traditionnels « BMS » pour entrer dans la généalogie.

Une pierre très intéressante pour construire nos arbres, si je peux me permettre cette image.